Les microtechniques, valeur sûre de la région
Fin septembre 2014, biennale Micronora. Là où les compétences franc... Lire
«L’industrie a une image archaïque»
C'est un monde qui peine à attirer les jeunes. Un constat que font de... Lire
«L’industrie n’est pas si pénible»
Stan Venck, 30 ans, originaire de Luxeuil, a exercé plusieurs métier... Lire
Formation d’usineur : 100 % en emploi
Le 25 septembre, 11 stagiaires francs-comtois, dont 2 filles, ont reç... Lire
«Les industriels ont besoin de jeunes»
Entretien avec Laurent Perrin, directeur emploi-formation de l’UIMM ... Lire
«Il y a des débouchés dans l'industrie»
Luis Joly, 21 ans, de Vesoul, est étudiant à l’ENSMM en alternance... Lire
Des atouts, des points faibles
La Franche-Comté est dans le trio de tête des régions les plus indu... Lire
«Casser l’image anachronique des métiers de l’industrie»
Entretien avec Gilles Curtit, président de la chambre de commerce et ... Lire
«On est sûr de trouver du boulot»
Il existe des jeunes qui choisissent le monde industriel et qui y sont... Lire
Une exposition pour découvrir l’industrie
L’exposition réalisée par des apprentis francs-comtois pour valori... Lire
express
L'industrie
octobre 2014
Les possibilités d'y travailler sont vastes si l’on considère les domaines recensés par l’UIMM : conception, microtechniques, automatisme, informatique, productique, maintenance, plasturgie, électrotechnique, logistique, chaudronnerie, régulation.
Main d'oeuvre
octobre 2014
La métallurgie compte 1,5 million de salariés dans len France. Et 43000 entreprises évaluant leurs besoins à 80 000 personnes par an dans les années à venir. Infos observatoire-metallurgie.fr
Formation industrielle
octobre 2014
Quelques avis d'entreprises à propos de la formation industrielle en Franche-Comté :
«Si on peut donner un conseil aux jeunes qui ne savent pas quoi faire, c’est d’aller en mécanique, en plasturgie, en réglage car il y a des débouchés. Des jeunes qui conçoivent derrière un ordinateur, on en trouve plein. Des jeunes derrière une fraiseuse, beaucoup moins» (Claire Flipo, CG.Tec, Frasne).
«En Franche-Comté, les gens sont plutôt bien formés, la preuve, ils s’exportent bien» (Sylvain Ballandras, FrecnSys, Besançon).
«Les salariés, on les forme, parce qu’il n’y a pas assez de jeunes intéressés par nos métiers, qui sont dévalorisés. C’est un problème pour des métiers tels que régleur ou outilleur. Là, ça pêche vraiment. Par contre, aux niveaux licence, master, ingénieur, il y a moins de problème» (Jean-Louis Denoyer, DCM, Voray-sur-l’Ognon).
«Les compétences, les gens formés, on ne les trouve pas. Alors on les forme chez nous» (Gilles Thomas, UND, Franois).
«Dans l’entreprise, les 2/3 des 30 salariés sont usineurs. Quand on cherche, on ne trouve pas facilement. Et quand ils sont attirés, ils passent rapidement de l’autre côté de la frontière» (Christian Fournier, UCH, St-Claude)
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