juillet 2019
«L'aviron pour se dépasser»
Rencontre avec les jeunes du Sport nautique bisontin.
Photo Laurent Cheviet
Eva Nicoulaud, 15 ans
«Cette année, je suis en 1re au lycée Ledoux. J’ai commencé l’aviron il y a 5 ans, quand j’étais en 5e. Mon père et ma mère en ont fait, je les accompagnais souvent au club alors je m’y suis mise dès que j’ai pu. J’ai fait aussi de la gym, de la danse, du cheval mais aujourd’hui je ne garde que l’aviron et l’équitation. J’aime surtout les sensations qu’on peut avoir sur le bateau mais aussi la bonne ambiance au club et la compétition. L’an dernier, j’ai fait les championnats de France, j’étais 2e en finale C, c’est-à-dire 14e au général.
J’aime également l’idée de se dépasser, d’essayer de progresser. Pour ça, je fais quatre entraînements par semaine. C’est un sport qui demande beaucoup de persévérance. Pour progresser, on répète beaucoup les mêmes gestes. Il faut s’accrocher, même quand c’est sous la pluie. Je préfère les bateaux longs, à 4 ou 8, mais comme je suis seule de mon âge au club, je suis obligée de faire du skiff pour la compétition. Pour l’instant, je n’ai pas forcément de préférence de distance»
«Cette année, je suis en 1re au lycée Ledoux. J’ai commencé l’aviron il y a 5 ans, quand j’étais en 5e. Mon père et ma mère en ont fait, je les accompagnais souvent au club alors je m’y suis mise dès que j’ai pu. J’ai fait aussi de la gym, de la danse, du cheval mais aujourd’hui je ne garde que l’aviron et l’équitation. J’aime surtout les sensations qu’on peut avoir sur le bateau mais aussi la bonne ambiance au club et la compétition. L’an dernier, j’ai fait les championnats de France, j’étais 2e en finale C, c’est-à-dire 14e au général.
J’aime également l’idée de se dépasser, d’essayer de progresser. Pour ça, je fais quatre entraînements par semaine. C’est un sport qui demande beaucoup de persévérance. Pour progresser, on répète beaucoup les mêmes gestes. Il faut s’accrocher, même quand c’est sous la pluie. Je préfère les bateaux longs, à 4 ou 8, mais comme je suis seule de mon âge au club, je suis obligée de faire du skiff pour la compétition. Pour l’instant, je n’ai pas forcément de préférence de distance»
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