avril 2013
«L’été, nous cherchons 150 jeunes»
L’Assad de Besançon-Pontarlier est spécialisée dans l’aide à domicile auprès des familles, des personnes âgées, des handicapés. Un domaine qui ne connaît pas de répit l'été. Aussi les organismes du secteur ont-ils besoin de remplaçants pour compenser les congés des salariés. L’offre de jobs est conséquente comme l’indique Ghislaine Belleney, responsable recrutement.
Photo Yves Petit
Combien de personnes recrutez-vous en jobs temporaires ?
Environ 150, principalement en juillet et août, même si nous avons également quelques recrutements à Pâques et à Noël. En cours d’année, il nous arrive aussi de recruter des étudiants pour des remplacements de week-end ou de nuit. Dans ces cas-là, on sollicite déjà ceux qui ont travaillé pour nous. Après les périodes de remplacement, il nous arrive de proposer des CDI. Certains des jeunes qui travaillent avec nous découvrent une vocation et s’orientent vers des formations sanitaires et sociales.
Trouvez-vous facilement des candidats ?
A Besançon, oui. On a du mal sur les secteurs de la vallée de la Loue et de Pontarlier, à tel point qu’on recrute parfois jusqu’à mi-juillet. Parce que sur ces secteurs, il faut une voiture, alors qu’à Besançon, on embauche même sans voiture.
Pour quelles tâches les embauchez-vous ?
On ne les oriente pas vers les situations trop complexes. On leur demande de l’aide à domicile simple comme l’entretien du logement, la préparation de repas, les courses, l’aide au lever, l’habillement, les démarches administratives, l’accompagnement, etc.
Y a-t-il une préparation ?
Les candidats sélectionnés sont accueillis en deux réunions de préparation d’une demi-journée. Ensuite il y a une formation de terrain au cours d’heures de tutorat pendant lesquelles le remplaçant accompagne un salarié.
Quelles sont les conditions ?
Il faut avoir 18 ans et le permis de conduire, idéalement avec un véhicule. Des notions de base en cuisine peuvent être utiles. Dans le meilleur des cas, avoir une formation ou une expérience dans le secteur sanitaire et social. Ensuite il faut être motivé, disponible et faire preuve de qualités humaines et relationnelles : l’ouverture aux autres, l’intérêt pour les problèmes humains et sociaux, une bonne capacité d’adaptation. Je dirais qu’il faut aussi une bonne résistance mentale et physique. Lors de l’entretien de recrutement, nous évaluons les capacités en termes de savoir-être et de savoir-faire de base.
Et les conditions salariales ?
C’est le smic, à savoir 1120 euros net en temps plein, ou un peu plus si le candidat a des diplômes en rapport avec notre métier. Les frais kilométriques sont pris en charge. Il y a aussi à travailler un week-end par mois, pour lequel le salaire est majoré.
Environ 150, principalement en juillet et août, même si nous avons également quelques recrutements à Pâques et à Noël. En cours d’année, il nous arrive aussi de recruter des étudiants pour des remplacements de week-end ou de nuit. Dans ces cas-là, on sollicite déjà ceux qui ont travaillé pour nous. Après les périodes de remplacement, il nous arrive de proposer des CDI. Certains des jeunes qui travaillent avec nous découvrent une vocation et s’orientent vers des formations sanitaires et sociales.
Trouvez-vous facilement des candidats ?
A Besançon, oui. On a du mal sur les secteurs de la vallée de la Loue et de Pontarlier, à tel point qu’on recrute parfois jusqu’à mi-juillet. Parce que sur ces secteurs, il faut une voiture, alors qu’à Besançon, on embauche même sans voiture.
Pour quelles tâches les embauchez-vous ?
On ne les oriente pas vers les situations trop complexes. On leur demande de l’aide à domicile simple comme l’entretien du logement, la préparation de repas, les courses, l’aide au lever, l’habillement, les démarches administratives, l’accompagnement, etc.
Y a-t-il une préparation ?
Les candidats sélectionnés sont accueillis en deux réunions de préparation d’une demi-journée. Ensuite il y a une formation de terrain au cours d’heures de tutorat pendant lesquelles le remplaçant accompagne un salarié.
Quelles sont les conditions ?
Il faut avoir 18 ans et le permis de conduire, idéalement avec un véhicule. Des notions de base en cuisine peuvent être utiles. Dans le meilleur des cas, avoir une formation ou une expérience dans le secteur sanitaire et social. Ensuite il faut être motivé, disponible et faire preuve de qualités humaines et relationnelles : l’ouverture aux autres, l’intérêt pour les problèmes humains et sociaux, une bonne capacité d’adaptation. Je dirais qu’il faut aussi une bonne résistance mentale et physique. Lors de l’entretien de recrutement, nous évaluons les capacités en termes de savoir-être et de savoir-faire de base.
Et les conditions salariales ?
C’est le smic, à savoir 1120 euros net en temps plein, ou un peu plus si le candidat a des diplômes en rapport avec notre métier. Les frais kilométriques sont pris en charge. Il y a aussi à travailler un week-end par mois, pour lequel le salaire est majoré.
Pour postulerAssad, 41 rue Thomas Edison, BP2146, 25052 Besançon cedex, recrutement@assad25.fr
ou 03 81 41 94 09.
Site : www.assad25.fr
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Guide Trouver un job
avril 2024
Le réseau Info Jeunes BFC conçoit chaque année le livret d’information Trouver un job. Il aborde tous les thèmes utiles à une recherche : connaître ses droits, savoir s’organiser, préparer une candidature, connaître les secteurs qui recrutent, chercher à l’étranger L’édition 2024-2025 est disponible gratuitement en ligne ici.
Travail de mineur
février 2023
En France, on peut travailler dès 16 ans, voire 14 ans (et avant pour le mannequinat, la publicité...), mais des règles particulières doivent être respectées. Avant 18 ans, une autorisation parentale ou du représentant légal est obligatoire. Dans les faits, les employeurs recrutent davantage les plus de 18 ans. Par ailleurs, le salaire minimum légal est moindre : 80 % du smic pour les moins de 17 ans, 90 % entre 17 et 18. Si l’on est mineur et que l’on tient absolument à travailler, certains domaines sont plus facilement accessibles que d’autres : baby-sitting, service à la personne, animation, travaux agricoles, vente, restauration rapide.
Où et comment chercher ?
février 2023
Pour trouver un job d’été, il est conseillé de s’y prendre dès le début d’année. Il existe deux moyens de postuler : en répondant aux offres, à surveiller sur des sites généralistes tels que ceux d’Info Jeunes, du Crous, de Pole emploi ou en candidature spontanée. Pour ces dernières, il est possible d’envoyer des demandes mais aussi d’en déposer autour de chez soi, par exemple chez les commerçants, ou de frapper aux portes. Dans le même ordre d’idée, en parler autour de soi ne coûte rien et peut déclencher un contact. Par ailleurs, s’inscrire en agence d’intérim avec ses disponibilités permet un accès à des emplois temporaires par leur intermédiaire.Les réseaux sociaux permettent d’étendre la proximité : Linkedin bien entendu, mais aussi Twitter avec les #jobs et #jobsdete, Facebook, etc.
Quelques sites : mesevenementsemploi.pole-emploi.fr, cornerjob.com, emploi.org, hellowork.com, indeed.com, jemepropose.com, monster.fr
Guide jobs
février 2023
Lors de chaque forum jobs organisé par Info Jeunes BFC, les visiteurs ont à leur disposition un Guide job. Il contient des infos à propos des droits, de l’organisation d’une recherche, des secteurs qui recrutent, des possibilités à l’étranger. Ce guide est également disponible en ligne.
Saisonnier en agriculture
juin 2021
L'Anefa lance une campagne emploi saisonnier en agriculture destinée à la fois aux employeurs qui cherchent des travailleurs et aux candidats en recherche de postes. Rendez-vous sur lagriculture-recrute.org Voir tout
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