juillet 2019
«Un sport technique et physique»
Rencontre avec les jeunes du Sport nautique bisontin.
Photo Laurent Cheviet
Agathe Remoussenard 18 ans
«Je suis en 1re année de Paces à Besançon et je finis ma deuxième année d’aviron au club. J’avais découvert l’aviron au collège et au lycée, je cherchais un sport qui pourrait me plaire. Je savais qu’il y avait un club d’aviron à Besançon alors je me suis dit "pourquoi pas ?".
Je me plais dans ce club, l’ambiance est agréable, et tout le monde se connaît. Je pratique l’aviron en loisir, mais j’ai fait ma première compétition début juin sous un soleil de plomb. Nous avons affronté certaines des meilleures équipes en France en 2000 mètres donc c’était très dur. Même si on n’a pas réussi à rivaliser, la sensation d’adrénaline au départ est vraiment plaisante et puis se battre en équipe ça motive. On veut se donner à fond pour les autres. La première course a été compliquée parce que je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. Je pense retenter l’expérience si j’ai assez de temps à y consacrer.
Ce que j’aime dans l’aviron ? La sensation d’être sur l’eau et de ramer en équipe, en synchro. Mais c’est un sport difficile, parce que c’est très technique et physique. En plus de cela, on ne peut pas ramer toute l’année à cause de la météo. L’hiver on s’entraîne en indoor sur des rameurs, mais c’est moins agréable».
«Je suis en 1re année de Paces à Besançon et je finis ma deuxième année d’aviron au club. J’avais découvert l’aviron au collège et au lycée, je cherchais un sport qui pourrait me plaire. Je savais qu’il y avait un club d’aviron à Besançon alors je me suis dit "pourquoi pas ?".
Je me plais dans ce club, l’ambiance est agréable, et tout le monde se connaît. Je pratique l’aviron en loisir, mais j’ai fait ma première compétition début juin sous un soleil de plomb. Nous avons affronté certaines des meilleures équipes en France en 2000 mètres donc c’était très dur. Même si on n’a pas réussi à rivaliser, la sensation d’adrénaline au départ est vraiment plaisante et puis se battre en équipe ça motive. On veut se donner à fond pour les autres. La première course a été compliquée parce que je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. Je pense retenter l’expérience si j’ai assez de temps à y consacrer.
Ce que j’aime dans l’aviron ? La sensation d’être sur l’eau et de ramer en équipe, en synchro. Mais c’est un sport difficile, parce que c’est très technique et physique. En plus de cela, on ne peut pas ramer toute l’année à cause de la météo. L’hiver on s’entraîne en indoor sur des rameurs, mais c’est moins agréable».
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